
Enfin, le temps va changer! Je n’en peux plus de vivre dans le noir d’une maison aux volets fermés toute la journée pour éviter la chaleur, je n’en peux plus de la tristesse de la végétation, de la souffrance de la terre.

Enfin, le temps va changer! Je n’en peux plus de vivre dans le noir d’une maison aux volets fermés toute la journée pour éviter la chaleur, je n’en peux plus de la tristesse de la végétation, de la souffrance de la terre.
La tribu a survécu à la canicule. La nécessité de trouver des activités au frais nous a donné l’occasion d’aller voir « Oppenheimer » au cinéma, de découvrir une piscine que nous ne connaissions pas à une quinzaine de minutes de la maison, de faire un nouvel escape-games qui nous a passionnés.
Il a fallu s’habituer au fait que le « grand » avait déserté nos rangs, premier job d’été oblige! Mais il a participé aux deux week-end familiaux et festifs qui ont encadré le séjour des plus jeunes.
Les activités ont repris, plus intenses que jamais en dépit de toutes les bonnes résolutions. Mais je repars bientôt dans ma maison-lumière!
Je pleure très rarement, mais les larmes me viennent
Lorsque je reviens dans ma maison-lumière,
Quand je pense à cette nature qu’on assassine,
Mais surtout, chaque fois que je pense à lui…